Pour se sentir bien au travail

Chaque travailleur·euse mérite de se sentir bien sur son lieu de travail.  Représentants du personnel et direction doivent négocier des modes d’organisation individuels et collectifs du travail qui permettent de concilier au mieux les intérêts particuliers et l’intérêt général.

Horaires

La flexibilité des horaires de travail ne doit pas être négociée en fonction des seules nécessités de l’entreprise. Les besoins du travailleur ou de la travailleuse doivent aussi être sérieusement pris en compte.

La CGSLB est en faveur d’une modification importante de la réglementation sur la communication des horaires variables. Afin de pouvoir organiser sa vie privée, le travailleur ou la travailleuse doit connaître son horaire de prestations au moins 14 jours à l’avance.

Chaque salarié doit avoir droit à la déconnexion numérique pour retrouver du temps… libre.
Dans les métiers qui l’autorisent, les travailleurs·euses doivent pouvoir recourir au télétravail sans perdre le lien avec leurs collègues.
 

Fin de carrière

En fonction de ses besoins mais aussi de ses envies, chaque travailleur·euse doit pouvoir terminer sa carrière au rythme qu’il·elle choisit. Le crédit-temps de fin de carrière ou le RCC (régime de chômage avec complément d’entreprise) doivent rester possibles voire élargis. La CGSLB demande que chacun puisse bénéficier d’une fin de carrière sur mesure.
 

A votre bonne santé

Le travail, ce n’est pas toujours bon pour la santé. Le relèvement de l’âge de la pension à 67 ans rend la question du bien-être encore plus cruciale. Les muscles, les tendons, les os, les nerfs, les cellules grises… sont mis à rude épreuve par la répétition des tâches et les exigences souvent insensées de la productivité. L’entreprise doit donner les moyens aux travailleurs·euses de souffler pendant leur carrière, et d’aménager leur fin de carrière en leur proposant un travail plus léger.

La politique de prévention menée au CPPT reste le cœur de notre action pour garantir collectivement le meilleur environnement de travail possible. Là où cela est nécessaire, les équipements de protection individuels, casques, bouchons d’oreilles, lunettes, chaussures de sécurité doivent être mis à disposition des travailleurs et des travailleuses.


 

Lutte contre le burn-out

La CGSLB encourage l’approche multidisciplinaire dans la prévention des burn-out et autres risques psychosociaux entraînés par l’organisation actuelle du travail.
Le burn-out doit être reconnu comme maladie professionnelle.

Voter CGSLB, c’est se battre pour une meilleure qualité de vie au travail.

Le rôle d’un délégué CGSLB pendant la crise Corona

 

Pendant la crise du Coronavirus, les délégués CGSLB ne sont pas restés inactifs :

  • ils ont résolu les problèmes administratifs de leurs collègues
  • ils ont mené une concertation constructive avec leur employeur, même en période difficile
  • ils étaient présents en ligne pour informer un maximum de personnes, avec le soutien de la CGSLB

Toujours pour défendre les intérêts de chaque travailleur et travailleuse !