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Deux des réformes les plus importantes nécessaires pour renforcer l'économie et le marché du travail belges et sauvegarder le pouvoir d'achat des travailleurs belges sont la mise en œuvre d'une réforme fiscale adéquate et une réforme du système de formation des salaires. Pour ces deux réformes, l'OCDE partage largement les analyses et les recommandations des syndicats belges.
La CGSLB, sous la direction de sa secrétaire nationale Katrien Allaert, a participé, les 1er et 2 octobre, à l'école des femmes du PERC à Sofia, en Bulgarie. Le thème de cette année : « Une approche syndicale de la violence de genre et de la cyberviolence dans le monde du travail, dans le cadre de la promotion et de la mise en œuvre de la Convention 190 de l'Organisation internationale du travail (OIT) ».
En ce 7 octobre, Journée mondiale pour le travail décent, le mouvement syndical mondial lance un appel à la paix et à la démocratie, alors qu’à travers le monde l’autoritarisme et l’escalade des conflits militaires continuent de dévaster la vie des travailleur·euse·s. Sans paix, il ne peut y avoir de justice sociale, et sans justice sociale, il ne peut y avoir de paix durable.
Après s’être mobilisée contre le vote au Parlement de l’incrimination d’atteinte méchante à l’autorité de l’État, la coalition se tourne aujourd’hui vers la justice pour faire annuler l’inscription de cette infraction dans le nouveau code pénal. L’atteinte méchante à l’autorité de l’État a été votée en février 2024.
Légalement, les organisations patronales et syndicales doivent remettre un avis pour le 15 septembre sur la manière dont l'enveloppe 2025-2026 devrait être dépensée. Malheureusement, les tactiques dilatoires des organisations patronales ont empêché d’obtenir un avis commun. Les trois syndicats soumettent donc leur propre avis au gouvernement fédéral en affaires courantes.
Au printemps dernier, lors d’un Conseil d’entreprise extraordinaire, la direction annonçait la faillite de MG Finances et de Cassis, causant la fermeture de 9 des 11 magasins Cassis et la perte de 67 emplois. Deux autres entités du groupe, les magasins Paprika et les magasins mixtes Cassis & Paprika, ont pu continuer leur activité à la suite d’un plan commercial de relance homologué par le tribunal du travail de Nivelles.